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…Les échos de
l’Interco… |
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Contacts |
d’ «Arc de
Seine » est lancée Cette structure a été conçue d’après le plan de
Cohésion sociale de JL Borloo qui la caractérise comme suit : « sa
force, dit-il est de rassembler en un même lieu, physique ou virtuel, le
Service public de l'emploi (Etat, ANPE, Assedic) et les multiples partenaires
que sont l'Afpa, les Missions locales, les PAIO, les chambres consulaires,
les organismes de développement économique et d' insertion professionnelle...
et, bien sûr, tous les acteurs locaux qui travaillent au plus près du
terrain ». Il faut, ajoute la brochure de lancement de Les enjeux sont donc importants et l’empressement
des élus de notre agglomération à être parmi les premiers à obtenir le label
du ministère du travail ne doit pas nous interdire le temps de la réflexion. Au cours d’un entretien des socialistes de Meudon
avec Jean Levain, vice-président d’Arc de Seine, chargé de Il faut rappeler en effet que de nombreuses associations
privées devraient être aussi impliquées dans ce projet. On peut citer les
associations intermédiaires comme « Optimal » à Meudon, les
entreprises d’insertion comme « Espaces », les associations
qui accompagnent des chômeurs à la recherche d’emploi, comme le GEC ou
SNC à Meudon, ou bien encore les correspondants meudonnais d’associations
d’aide à la création d’entreprises comme Défi 92 ou l’ADIE
. Les questions sont nombreuses : Le regroupement doit-il être « physique ou
virtuel » selon les termes de M.Borloo ? Autrement
dit, faut-il préférer le regroupement des compétences en un seul lieu ou
leur dispersion en plusieurs antennes, le centre n’étant qu’une
coquille administrative? La première solution a l’avantage de permettre à
l’intéressé de régler ses problèmes au même endroit après avoir fait
l’effort d’un long déplacement ; l’avantage de la
proximité dans le cas de multiples antennes ne risque-t-il pas d’être
contrecarré par l’obligation de
consulter plusieurs experts géographiquement séparés ?
Le succès de l’opération consiste dans la capacité
des opérateurs à travailler réellement en réseau ; si le regroupement
physique est à cet égard un avantage, il n’est pas la seule condition
pour qu’une situation difficile soit vraiment traitée par une équipe
transversale ; comment motiver le personnel si les objectifs de réussite
sont compartimentés, fixés service par service ? Quelle place faut-il donner aux associations ? On
peut souhaiter qu’une maison des associations soit attenante aux lieux
du regroupement ou des antennes ? Comment rapprocher au mieux les besoins des entreprises
des besoins des publics ? Comment, en d’autres termes, intéresser
les employeurs au fonctionnement de Bien d’autres aspects du projet pourraient être mis
en avant comme le statut du personnel et sa qualification. Nous invitons tous ceux qui ont déjà fait ce parcours
difficile vers l’emploi ou qui y sont engagés, de nous faire part de
leur expérience et de l’exprimer lors de la rencontre projetée. Il faut
que cette « Maison » soit la leur et ne devienne pas une
« administration de plus », inutile et sans âme, se superposant à
d’autres !
Maurice Badiche Les origines de cette Maison de l’Emploi La loi de programmation pour la cohésion sociale du
18 janvier Dans nos cinq villes ( Issy les Moulineaux, Meudon
Vanves, Chaville et Ville d'Avray) qui constituent l’Arc de Seine, nous
avons le triste privilège de rencontrer une proportion élevée de jeunes
chômeurs très qualifiés. Des associations se sont mobilisées pour accompagner
l'insertion professionnelle et le retour à l'emploi des femmes et des
chômeurs de longue durée, qu'il s'agisse de personnes en grande précarité
comme de requalification de cadres et de création de très petites
entreprises. La bataille pour l'emploi dans des conditions acceptables
de dignité et de stabilité nous concerne tous. Françoise Roure Rien ne va plus côté Arc de Seine. La logique des intérêts de chaque commune conduit à tirer
la charrette à hue et à dia. Les
délibérations de l’automne on vu les représentants de chaque commune
voter en faveur d’un financement de plusieurs projets d’intérêt
strictement communal sur les fonds de l’intercommunalité. La
conséquence immédiate est un coup d’arrêt au projet
d’agglomération puisque la marge de manœuvre budgétaire qui aurait
permis de le financer a été consommée dès 2005. Or sans projet, pas de solidarité, et surtout pas la moindre
ambition pour les services publics locaux destinés à la population
d’Arc de Seine soit plus de 160 000 habitants ( Meudon, Issy, Chaville,
Ville d’Avray, Vanves). Nous
nous sommes opposés au blocage du projet d’agglomération qui résulte de
la reconversion, de fait, des missions de l Etablissement public de
coopération intercommunale en une pompe à finances pour chaque commune. Le budget d’investissement d’Arc de Seine doit
être utilisé pour des investissements d’intérêt communautaire
c’est à dire entrant dans le champ des compétences d’Arc de Sein
comme le transport, l’environnement et le développement durable ,
la politique du logement social pour nos villes ou la politique de
l’emploi. Ces investissements auraient dû être sélectionnés au minimum
pour leur intérêt commun, dans le domaine de la politique publique locale en
faveur du sport par exemple. Il
n’en a rien été. Avec ces décisions, l’Arc de Seine révèle sa
vraie nature, qui n’est que d’opportunité politique à courte vue.
Elle prive ses résidents d’une possibilité de participer localement à
la préparation de l’avenir qu’ils souhaitent dans des domaines
aussi cruciaux que le vieillissement de la population et le départ des jeunes
du fait de l’envolée de la rente foncière. Françoise Roure |
Les PV du conseil
communautaire Arc de Seine |
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